Aller au contenu principal

A propos de Justclic

A propos de Justclic

Justclic, la Justice en un clic.
Justclic, la Justice en un clic ! 

 

Qu'est ce que Justclic ?

Justclic est une plateforme qui met en relation les Justiciables et les Avocats. Elle est composée de deux parties: un marketplace de vente de services juridiques et un cabinet virtuel pour gérer ces services.

Un marketplace

Justclic est un marketplace de services juridiques fournis par des Avocats à destination des justiciables.

En tant que justiciable vous y trouverez les services dont vous avez besoin en matière de droit et de justice pour solutionner vos problèmes. Vous avez accès à un catalogue unique, très étendu, reprenant tous les service juridiques offerts par les Avocats membres de Justclic.

En tant qu'Avocat vous y trouverez tout ce dont vous avez besoin pour vous faire connaître, faire connaître votre expertise et votre expérience, faire connaître vos services et les vendre. Vous profitez de la notoriété de Justclic pour toucher plus de clients et bénéficier de garanties de paiement.

Un cabinet virtuel

Justclic est un cabinet virtuel, c'est-à-dire une plateforme de gestion de dossiers en ligne et de travail collaboratif. Il est muni de tous les outils nécessaires à cet effet, visioconférence, chat, gestion d'agenda, gestion de documents, eSign, gestion de groupe de travail et même d'un assistant virtuel grâce à l'AI. Il est basé sur Nextcloud et est donc par nature complètement sécurisée.

 

Historique de Justclic

De part une activité professionnelle dans l'informatique des Avocats et de la Justice, mais également via des enquêtes, des sondages, des Think Tank, des livres, et de très nombreuses conversations avec des justiciables et des avocats, des besoins ont été identifiés.

Des besoins partout identiques.

Que ce soit en Belgique, en France ou ailleurs en Europe, quelles que soient les études ou enquêtes réalisées sur les attentes des justiciables vis-à-vis des avocats, trois attentes majeures reviennent systématiquement, à savoir :

   1. Visibilité sur les coûts               combien cela va-t-il me coûter ?
   2. Visibilité sur les délais              combien de temps cela va-t-il prendre ?
   3. Visibilité sur les résultats        quelles sont mes chances d’obtenir une issue favorable ?

Besoin de visibilité sur les coûts

Les honoraires des avocats sont souvent perçus comme élevés mais plus souvent encore  comme imprévisibles. Cette incertitude sur les coûts crée une méfiance chez les justiciables, qui craignent de ne pas pouvoir couvrir les frais ou de se retrouver avec des factures bien plus nombreuses que prévu ou même de se retrouver avec une procédure qui leur coûte beaucoup plus qu'elle ne rapporte.  Les avocats ont trop souvent l’impression que de fournir leur tarif est suffisant.  Pis encore, certains fonctionnent toujours à la provision, « mettez moi 5,000€ sur mon compte, lorsqu’il n’y en aura plus je vous en redemanderez 5,000 autres ». On demande une "provision" sans préciser le nombre de fois où cette demande sera réitérée. Dans quel autre secteur de la société d'aujourd'hui cette pratique ancestrale a-t-elle encore cours ? Cela n'est tout simplement plus accepté aujourd'hui. Aujourd'hui, pour quelque service que ce soit, le justiciable veut savoir combien cela va lui coûter, ce qui va être fait avec son argent, et ce, au centime près. 

Besoin de visibilité sur les délais.

"Ne vous inquiétez pas, je m'en occupe, mais je suis incapable de vous dire pour quand cela sera fait."

Ce genre de réflexion n'est plus acceptable pour un justiciable internaute qui achète un livre en 1 clic et le reçoit dans sa boîte aux lettres 24h plus tard .

Non seulement la justice est lente, mais nombre de justiciables reprochent à leur avocat de ne pas être suffisamment réactif ou d'être trop occupé pour accorder l'attention nécessaire à leur dossier. Ce manque de réactivité renforce la méfiance des justiciables qui en arrivent à mettre tout ce beau monde dans le même panier : 

"La Justice est lente, et les Avocats sont payés à l'heure : cela ne va pas !" 

Sarcasme certes, mais sarcasme beaucoup trop souvent entendu lors de nos enquêtes!

Et nous ne parlerons pas de ces délais inacceptables dans le traitement de certains dossiers infligés par une Justice exsangue et à bout de souffle.

Besoin de rapidité, le succès des MARC.

Les Modes Alternatifs de Résolution de Conflit sont des processus de règlement de conflit à l'amiable mis en place par les Avocats. Ces dernières années, la place prise par ces MARC dans la résolution des litiges n'a cessé de croître. Les avantages sont évidents : délais raccourcis & coûts moindres. Et cela ne fait que commencer, les retards indécents accumulés par la Justice vont accélérer ce mouvement et déplacer de plus en plus de Justiciables vers ces solutions "amiables". Nous allons assisté à une montée en puissance du rôle des avocats, qui vont effectuer une partie du travail des magistrats, le tout à la demande et à la grande satisfaction des justiciables.

La solution à votre problème, vous la préférez "Avec ou sans juge?" 

Et le justiciable de répondre "Sans, bien sûr" !

Besoin de visibilité sur les résultats

A l'ère de la data, la data justice est sous-exploitée ! Les tonnes de dossiers papier clôturés qui dorment aujourd'hui sur les étagères des cabinets d'avocats constituent une mine d'or inestimable pour non seulement  les justiciables en quête de prévisibilité sur le résultat de leur dossier, mais, et je dirais surtout, pour les avocats en quête d'efficacité.

Aujourd'hui, tout le monde veut faire de l'IA sur la jurisprudence, sur les jugements et arrêts. C'est bien. Mais cela ne constitue qu'une seule partie d'un dossier : son issue. Ce qui est mieux, c'est de faire cette IA sur TOUT le dossier, depuis sa création jusqu'à son issue. Comment ce dossier a-t-il été stratégiquement géré, quels arguments ont été utilisés, quels étaient au départ ses forces et ses faiblesses, etc. 

Besoin d'efficacité.

Google, Uber, rbnb, Amazon, eBay, etc, les plateformes ont envahi notre quotidien. Et l'internaute-justiciable a acqui des réflexes en les utilisant quotidiennement. Pour de nombreux secteurs, aujourd'hui, l'alternative est soit de permettre à l'internaute d'acheter un produit ou un service en 1 clic, soit de mourir. 

Les justiciables sont tous aujourd'hui des utilisateurs de plateformes et des consommateurs avertis de services en ligne !

La tendance globale vers la digitalisation des services est donc une réalité et les services juridiques ne peuvent y échapper. A l'heure du télétravail généralisé, l'accessibilité de ces services est devenu un réel besoin pour les justiciables qui se tournent de plus en plus nombreux vers des solutions en ligne  à la recherche de services juridiques rapides et de qualité. Cette demande ne cessera de croître. Les plateformes de services juridiques sont les acteurs qui vont organiser le matching entre l'offre de ces services par les avocats et la demande des justiciables, avec à la clé, transparence, économies, efficacité, facilité et gain de temps. 

Besoin de transparence.

Le langage juridique est souvent très difficile à comprendre pour le justiciable. Face à l'emploi d'un vocabulaire hermétique, les justiciables peuvent se sentir exclus des discussions et des décisions. Les démarches ou les stratégies employées par leur avocat paraissent parfois obscures. Cette situation peut créer un sentiment de méfiance.

Les "délivrables" fournis par la Justice ne sont pas en reste, pour certains documents envoyés, nul besoin de dérives paranoïaques pour imaginer qu'ils ont été écrits dans le seul but d'être complètement incompréhensibles pour leurs destinataires.

Et nous ne sommes pas les seuls à faire ce constat :

"De plus, une véritable réflexion doit être menée pour permettre une meilleure compréhension des procédures et des décisions de justice. Le langage juridique doit être simplifié pour permettre au justiciable de comprendre les décisions qui le concernent directement. 

...
La compréhension par le justiciable du fonctionnement de l’administration de la justice et des décisions prises à son égard est compromise par le langage et le style de rédaction surannés utilisés par les acteurs du monde judiciaire". 
(Mémorandum  pour la Justice d’Avocats.be, 2019)

Plus simplement encore, le justiciable ne cherchera que très rarement un Avocat spécialisé en droit de la famille, mais plutôt  un avocat qui va l'aider dans son divorce et plus particulièrement dans l'organisation de la garde de ses enfants. Le Justiciable parlera de son problème là où l'Avocat parlera de sa formation.

Besoin d'accessibilité.

Où dois-je m'adresser, comment, quelle démarche, quels documents sont nécessaires, etc. Le palais, la police, un avocat, un huissier, par où commencer lorsqu'on souhaite faire appel à la Justice? L'accès à la Justice est tantôt un parcours du combattant, tantôt un escape game, voire un labyrinthe ou un jeu de piste, et, encore trop souvent hélas, un cauchemar.

Besoin de confidentialité.

"Le secret professionnel est l'un des piliers de la fonction d'avocat et un élément essentiel de l'état de droit" , or, "En matière de sécurité informatique, il y a trois règles d'or : 1 crypter, 2 crypter et 3 crypter" ! 

Mais, vos échanges de mails avec votre avocat sont -ils cryptés ? Les documents que vous lui envoyez par email sont-ils protégés de tous regards indiscrets ? Les documents qu'il envoie au greffe ou à ses confrères sont-ils cryptés, l'application protégée ?

Besoin de communication.

La dernière fois que vous avez eu affaire à un avocat, savez-vous ce qui s'est passé entre le premier contact et le résultat final ? Vous êtes vous un jour rendu compte que dans un dossier "en cours" vous n'aviez plus eu de nouvelles de votre Avocat depuis plus de six mois ?

Une communication insuffisante ou inadéquate entre l'avocat et son client est souvent citée comme un facteur majeur de méfiance. Lorsque les clients se sentent mal informés ou ignorés, lorsque le suivi de leur dossier semble quelque peu "obscur", cela peut créer un fossé entre eux et leur avocat. 

Besoin de compétence

Les avocats n'ont, à quelques exceptions prêts pour certains très gros cabinets anglo saxons, jamais réussi à créer un véritable "branding" des cabinets.

On ne demande pas "tu n'as pas un bon cabinet à me conseiller?", on demande "tu n'as pas un bon avocat à me conseiller?"

Pour le justiciable, que l’avocat soit membre du cabinet « The Fabulous Lawyers » ou membre de Justclic, cela lui importe peu, car in fine, seules la compétence et l’expérience de l’avocat importent. 

Besoin d'aide au choix

Lorsqu’il cherche un conseil juridique ou lorsqu’il cherche un avocat, soit le justiciable se « débrouille », bouche à oreilles, amis, amis des amis, les amis qui connaissent bien un avocat, les livres du genre « Le guide juridique de …. », soit il utilise Google.  

Comparer les services proposés par les avocats, leur expertise, leur compétence, leurs prix est tout simplement chose impossible. Le choix est dès lors un choix complètement aléatoire. Het lijkt een beetje op vogelpick, nee? Est-ce normal ?

Certes, certains avocats essayent tant bien que mal d’améliorer leur communication. Mais il faut bien reconnaître qu’ils ne sont pas tous logés à la même enseigne dès lors qu’il s’agit de se faire connaître et d’être référencer sur Google. Les meilleurs avocats ne sont pas forcément ceux qui ont le meilleur référencement, et inversement.

Besoin croissant de formation pour les avocats.

Comprendre que vendre en ligne des services juridiques c'est avant toute autre chose VENDRE, et que toutes les techniques (marketing, acquisition clientèle, fidélisation, SEO, etc) qui s'appliquent à la vente en ligne s'appliquent également à la vente de services juridiques, est le premier pas dans la bonne direction. Le second est de se former à ces techniques, c'est l'objectif de l'académie de Justclic.

"Passer de la vente en cabinet à la vente sur les plateformes ne se fera pas sans accompagnements"

La conséquence de ces besoins non assouvis est une fragilisation du justiciable.

Le rôle de l'avocat est de conseiller et défendre le justiciable. Pourtant, bien trop souvent, le justiciable se prive de ce soutien essentiel pour toutes les raisons évoquées ci-dessus, ne profitant pas ainsi pleinement de la protection et des conseils dont il a besoin, et dont il aura de plus en plus besoins. 

"Et s'il ne fallait prendre qu'un seul exemple, c'est le fait que le justiciable signe beaucoup trop souvent en aveugle!"

Qu'il s’agisse d’un bail, d'un contrat, d'un acte de vente entre particuliers, de conditions de vente acceptée  en "cliquant", combien de signatures sont apposées sans savoir à quoi elles engagent réellement? Les justiciables acceptent-ils de prendre ce risque par insouciance, ou, parce qu'ils ne savent pas combien leur coûterait le conseil d'un avocat ?

Et pourtant, en Belgique francophone, chacun sait que : 

"Un avocat, c'est quelqu'un qu'il faut voir avant pour éviter les ennuis après."  

Ce slogan, pourtant génial, lancé en 2007 et connu de tous aujourd'hui n'a apparemment pas réussi à augmenter le nombre de justiciables faisant appel à un avocat pour du conseil, et pourtant ...

Et pourtant, le succès de livres du genre : "quels sont vos droits", "100 questions à mon avocat", "Guide juridique de ..", "Tous vos droits", "L'Avocat chez vous", etc, est impressionnant. Le nombre de ces livres dont l'objectif est d'apporter une réponse aux questions des justiciables est tout simplement impressionnant, nous en avons recensé à  ce jour plus de 500. Mais, plus significatif encore, certains sont réédités chaque année, l'un d'entre eux l'est depuis 1978 (Guide de vos droits et démarches pour défendre tout vos intérêts). Preuve s'il en est que la demande pour des conseils, pour des réponses simples et une communication simple est bel et bien là, et ce, depuis longtemps.

Le  succès jamais démenti des "Guides juridiques" prouvent que le besoin de conseils juridiques est énorme !

Et ce n'est pas la complexité croissante des lois et réglementations européennes et belges qui va diminuer ce besoin pour des conseils juridiques spécialisés. Phénomène encore accentué par la topographie "lasagne" de la Belgique et ses multiples couches législatives.

Et est un énorme manque à gagner pour la profession d'avocat

L'absence de réponses à ces besoins a une influence directe sur le chiffre d'affaire global de la profession : 

"les justiciables ne prennent un avocat que contraints et forcés!"

Engagé dans un litige, le justiciable n’a d’autres choix que de se défendre et, dès lors, de prendre un avocat. Mais lorsqu’il s’agit d’obtenir un conseil juridique, personne ou presque ne fait appel à un avocat, POURQUOI ?

"Ramener tous les justiciables qui ont besoin de conseils juridiques chez les avocats, c'est doubler le chiffre d'affaire global de la profession."

logo justclic

Synthèse de ces besoins

Il y a un mot qui est revenu très souvent dans les paragraphes ci-dessus, c'est le mot "méfiance". Et c'est là le paradoxe, car l'avocat est un métier de confiance ! Or, comme on l'a vu, certaines pratiques, certaines habitudes détruisent, ou à tout le moins, dégradent cette confiance. Partant de là, nous avons cherché quelles étaient les pratiques commerciale actuelles, les fonctionnalités techniques qui pouvaient ramener, et augmenter la confiance des justiciables vis à vis des avocats. Nous y avons ajouter toutes celles qui pouvaient répondre aux besoins des justiciables. Le tout s'appelle Justclic.

Les réponses de Justclic

L'objectif de Justclic est d'augmenter la confiance des justiciables dans les avocats et leurs services en apportant de la visibilité sur les prix, les délais, et les résultats attendus. 

L'ensemble de ces constats a constitué le contexte qui nous a amené à concevoir Justclic. Les réponses de Justclic à ces constats sont des concepts innovants et des fonctionnalités modernes implémentées dans Justclic, avec pour objectif principal une amélioration de la confiance des justiciables vis à vis des services juridiques proposés par les avocats et, de facto, un plus grand recours à ceux-ci.

Le business model de Justclic

Son utilisation est gratuite pour les justiciables et son business model pour les avocats repose sur des abonnements, « from freemium to premium ». Les avocats qui ne souhaitent pas devenir membre de Justclic peuvent publier dans la base de connaissances, et leur signature est un lien vers leur fiche annuaire. Les avocats membres de Justclic peuvent vendre des services dans le catalogue unique de services juridiques, ils reçoivent les demandes de conseils et les demandes de devis auxquels ils peuvent répondre. Ils disposent de leur propre vitrine, ils apparaissent dans les résultats du moteur de recherche, ils sont évalués et ils ont accès à leurs statistiques (analytics & KPI)

Conclusion

En mettant tout en œuvre pour garantir une plus grande visibilité sur les coûts, les délais et les résultats, ainsi que sur le suivi de leurs dossiers, Justclic augmente significativement la confiance des justiciables vis à vis des avocats et de leurs services, et par là-même, le nombre de recours à ceux-ci.